🏥Et si l’on priorisait à 7 les solutions idéales ?
L’article suivant par La Presse publié le 3 mars, propose huit solutions pour désengorger les urgences. Avant même de penser à contraindre les médecins et aux tickets modérateurs, pourquoi ne pas favoriser une solution prouvée efficace: l’intégration des professionnels de la physiothérapie dans les départements d’urgence.
On sait que 18 à 25 % des consultations à l’urgence sont pour des problèmes neuromusculosquelettiques (NMSQ), et que l’accès limité à des soins de première ligne pousse de nombreux patients vers l’hôpital. Pourtant, des initiatives en Australie, au Royaume-Uni et même ici, à Québec, ont démontré que la présence de physiothérapeutes en urgence réduit les temps d’attente, la durée du séjour et la prescription de tests inutiles.
Alors, pourquoi ne pas tirer parti de cette expertise pour améliorer l’accès aux soins et désengorger nos urgences ? Il est temps que le Québec emboîte le pas! Les professionnels de la physiothérapie sont prêts 💪.
PHOTO HUGO-SÉBASTIEN AUBERT, ARCHIVES LA PRESSE
La moitié des Québécois qui se présentent aux urgences ont des problèmes non urgents, selon Santé Québec.
En rappel, intervention de l’AQP à LCN pour le Le Québec matin week-end en 2023 à ce sujet:
Le communiqué de presse conjoint avec le Conseil pour la protection des malades (CPM).