« Dans la dernière année, j’ai rencontré des dizaines de patients dans des salles d’attente et des professionnels en cliniques spécialisées qui ont des histoires similaires à raconter. Je partage aujourd’hui ma traversée parce qu’il reste encore trop de désinformation au sujet des commotions cérébrales et peu d’accompagnement adéquat. Les ressources sont difficiles à trouver, non-centralisées et souvent découvertes par bouche-à-oreille ou en faisant des recherches soi-même. Et pourtant, elles sont extraordinaires quand on sait où chercher.