Deux programmes de physiothérapie québécois, celui l’Université de Sherbrooke et celui de l’Université de Montréal, viennent de se joindre à des homologues à travers le monde en adhérant à l’Agenda de la physiothérapie environnementale.
« Depuis quelques années, mes collègues innovent en intégrant dans notre enseignement l’engagement envers l’écoresponsabilité de notre faculté et de notre université. À ce point-ci, notre adhésion à l’Agenda reconnait tout simplement ce que nous avons déjà accompli. »
Shaun Cleaver, Professeur en physiothérapie de l’Université de Sherbrooke
Lorsqu’un programme adhère à l’Agenda de la physiothérapie environnementale, il s’engage à exposer ses personnes étudiantes à des sujets environnementaux. Reconnaissant que la physiothérapie environnementale soit nouvelle et en évolution rapide, l’Agenda laisse les programmes préciser le contenu à aborder et les façons de le traiter. Le site internet de l’Association de la physiothérapie environnemental présente plusieurs « histoires de cas inspirantes » présentant des exemples d’activités pédagogiques de physiothérapie environnementale.
« En participant à cette initiative, le programme de physiothérapie de l’Université de Montréal joint une communauté de pratique qui valorise le partage de connaissances et les interactions entre des personnes ayant différents domaines d’expertise et appuie l’enseignement et la recherche en physiothérapie environnementale. »
Dany Gagnon, Professeur et Directeur des programmes de physiothérapie de l’Université de Montréal
L’Agenda compte déjà près de 100 programmes de physiothérapie est soutenue par plus de 35 organisations mondiales. L’Université de Sherbrooke et l’Université de Montréal sont les premiers au Canada à y adhérer.
Le texte est soumis conjointement par les deux programmes concernés.