Le 20 mars dernier, l’AQP, représentée par son président Simon Dalle-Vedove et Maxime Huard, administrateur, a rencontré des représentants de l’APTS national, soit Benoit Audet (3e vice-président) et Guillaume Champagne (coordonnateur au secteur de l’organisation du travail et des enjeux professionnels) afin d’effectuer le suivi de différents dossiers communs.
Tout d’abord, le syndicat a fait un retour sur les tables de discussion qui ont eu lieu le 12 décembre dernier avec les physiothérapeutes du secteur public à propos du décloisonnement des professions. En octobre 2022, l’APTS a entrepris un chantier de consultation auprès des membres sur les différents enjeux professionnels reliés au décloisonnement de certains titres d’emploi. Durant la conversation, plusieurs points ont été abordés, mais somme toute, les physiothérapeutes voient de façon favorable les changements actuels au sein du système de santé.
L’AQP a tenu à souligner l’expertise des deux groupes de professionnels de la physiothérapie (pht et T. phys.) dans ce processus et l’importance de se baser sur un cadre réglementaire bien défini.
Également, d’autres enjeux ont été discutés, soit la pénurie de main d’œuvre et ses solutions potentiels, le rôle et l’importance des technologues en physiothérapie au sein des institutions de santé et aussi, des pratiques innovantes en physiothérapie. Finalement, l’AQP a effectué un suivi sur le dossier de l’équité salariale de 2010 pour les physiothérapeutes œuvrant au public. À l’heure actuelle, il y a un statu quo auprès du gouvernement. Cependant, l’APTS s’assura d’une continuité à ce sujet.
De son côté, l’AQP poursuivra ses actions de représentation auprès des instances gouvernementales.